Le panafricanisme une doctrine et mouvement de solidarité entre les peuples africains et les afro-descendants où qu’ils soient dans le monde sans distinction sociale et religieuse.
Kémi Séba, de son vrai nom Stellio Gilles Robert Capo Chichi, né le 9 décembre 1981 à Strasbourg, est un militant panafricain franco-béninois. Il adopte son deuxième nom « Kémi Séba » de la langue rankema (la langue des anciens égyptiens, c’est-à-dire des kémis) signifiant en français « Étoile Noire». Son parcours est riche, il a commencé officiellement avec Nation of Islam, puis du parti Kémi en passant par la Tribu Ka dont il est le fondateur avant de finir dans le panafricanisme.
Aujourd’hui, Kémi Seba est une figure emblématique et incontournable sur la chaîne internationale. Son engagement et son militantisme lui confèrent la place de l’honneur et le parfait modèle panafricaniste du XXIe siècle. Toute la jeunesse africaine voit en lui un exemple de courage, d’audace, de persévérance, de constance et d’intelligence.
Kémi Seba a su aller au delà des attentes en participant au processus de modification du cours de l’histoire africaine dans le domaine de la géopolitique et de la politique monétaire. Il est très engagé pour que les pays africains n’utilisent plus la monnaie CFA (communauté financière africaine). En septembre 2017, après avoir brûlé un billet de franc CFA afin de protester contre le manque de souveraineté monétaire qui touche les pays d’Afrique, Kémi Séba est accusé d’être « une menace grave pour l’ordre public », le Sénégal l’expulse vers la France montrant ainsi la véracité de ses discours et de ses actions sur la subordination complète et volontaire du Sénégal à la France.
Mais c’est quoi le CFA ?
D’abord le franc CFA est le nom porté par deux monnaies communes africaines (franc de la Communauté financière africaine et franc de la Coopération financière en Afrique), héritées de la colonisation française et utilisées par quatorze pays d’Afrique : le franc de la communauté financière en Afrique émis et géré par la Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest pour les huit États membres de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) et le franc de la coopération financière en Afrique centrale, émis par la Banque des États de l’Afrique centrale pour les six États membres de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC). Le franc CFA a été créé initialement en 1939, à la veille de la Seconde Guerre mondiale pour permettre à la France de se rédévelopper économiquement sur le dos des Africains. Le CGD (le colonialiste Général De gaule) avait signé la création de ces monnaies car il y en deux CFA, celui de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) et celui de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC). Le franc CFA, qui signifie alors « franc des colonies françaises d’Afrique ». Dans l’UEMOA, le sigle CFA a signifié:
De 1945 à 1958, « Colonies françaises d’Afrique »
De 1958 à 1960, « Communauté française d’Afrique ».
Dans la CEMAC le sigle CFA signifie « Coopération financière en Afrique »
Littérature :
Kémi Séba se démarque par la plume entre autres :
« Obscure époque » un roman qu’il a publié en 2016.
« L’Afrique libre ou la mort » un ouvrage qu’il a publié le 29 juin 2018.
« Supra-négritude » en 2013.
« Philosophie de la panafricanité fondamentale » en 2023.
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Du panafricanisme à la présidence ?
Kémi Séba est très apprécié en Afrique et il se nourrit des ambitions fortes jusqu’à même ouvrir la possibilité de se présenter aux élections présidentielles ou à défaut de présenter une personne de confiance. Car pour lui, le président actuel du Bénin Patrice Talon, président de la République depuis le 6 avril 2016 est un valet des blafards Occidentaux. Même si, Kémi Séba jouit d’une immense notoriété auprès des peuples africains, il faut néanmoins retenir une chose que la course à la présidence est une autre chose. Malgré son talent d’orateur sublime, il lui faudra mouiller le maillot plus que jamais pour espérer s’asseoir sur le fauteuil des présidents béninois.
Quel système politique utilisera-t-il ?
Ce n’est pas un secret pour les blafards, une fois que Kémi Séba accède au pouvoir par les urnes, il va naturellement changer la direction de parcours du Bénin. Le Bénin sera un centre du panafricanisme et il rejettera sans aménager aucun effort le système politique démocratique. Etant donné qu’il est bien conscient des enjeux politiques, il ne va point opter pour le communisme. La seule et unique solution sera le système politique uslumake.
Les contraintes:
Dans l’hypothèse qu’il devienne président du Bénin, armé du panafricanisme et de l’uslumaaku, ses mandats seront marqués par des crises politiques créées de gauche à droite par les blafards Occidentaux. On risque de voir un déferlement médiatique contre le Bénin chaque jour cherchant des failles pour mordre le président Kémi Séba comme un chien enragé et fou. Les institutions financières refuseront de faire des prêts au Bénin sous prétexte qu’il n’est pas un pays qui respecte les valeurs démocratiques. Également certains pays limitrophes du Bénin sont sous la suzeraineté d’un autre pays vassalement vont comploter pour renverser le président Kémi Séba. Mais avec le peuple à son coté, Kémi Séba et le peuple béninois finiront par gagner et se développer.
