Restauration démographique de l’Afrique

Démographie africaine

     L’Afrique est le continent le moins peuplé du monde avec une superficie de 30 415 873 km avec les îles. Ayant une population de 1,3 milliard d’habitants, l’Afrique se classe deuxième continent du monde après l’Asie. Malgré cela le contient africain reste un continent sous-peuplé. Elle a la plus faible densité au monde avec 44 hab./km2 contre  une densité de 144,14 habitants/km² en Asie, de 68,44 habitants/km² en Europe. Le continent africain est peuplé majoritairement sur les côtes où aussi se trouvent les grandes villes, mais l’intérieur de l’Afrique est quasiment vide.
Souvent, quand on parle de la démographie, nous comprenons seulement le nombre de la population tandis qu’elle va plus loin en incorporant en elle la mortalité, la fécondité par exemple. La démographie est l’étude quantitative et qualitative des caractéristiques des populations et de leurs dynamiques, à partir de thèmes tels que la natalité, la fécondité, la mortalité, la nuptialité (ou conjugalité) et la migration.
   Historiquement, l’Afrique a connu un freinage brusque des taux de natalité, de fécondité et de nuptialité tandis que la mortalité et la migration ont augmenté de manière drastique. L’Afrique précoloniale a connu une augmentation de la politique suivant le cours de l’évolution humaine en Afrique. Les traites négrières menées par les blafards colonialistes occidentaux ont entraîné une décroissance démographique incalculable. L’Afrique avait perdu environ 70 % de sa population. La cause principale de cette perte tragique fut la colonisation et la traite atlantique au cours desquelles tous les hommes noirs jouissant d’une viabilité et d’une virilité ont été soit tués, soit morts pendant la traversée atlantique, soit morts suite aux conditions météorologiques de l’Europe et de l’Amérique. Ces siècles coloniaux ont empêché les Africains de se marier naturellement, de fonder des familles. Des morts, des maladies et de la faim voilà les mots qui caractérisaient cette période séculaire coloniale. L’autre facette de la colonisation, autrement dit l’un des objectifs de la colonisation était de réduire autant que possible le nombre de la population africaine pour qu’elle ne puisse jamais redevenir une puissance démographique. Ainsi, avec une population marginale, les anciennes puissances colonisatrices pourront remplacer les peuples africains en s’installant en Afrique de manière définitive. Des compagnes coloniales ont été menées pour stériliser les femmes noires pour empêcher la restauration démographique en Afrique. Au début du XXe siècle la population de toute l’Afrique était à peine 100 millions d’habitants. 

       Stérilisation forcée des femmes noires :

    L’étymologie du mot « eugénisme » est grecque : eu (« bien ») et gennaô (« engendrer »), ce qui signifie littéralement « bien naître ». L’eugénisme est « l’ensemble des méthodes et pratiques visant à sélectionner le patrimoine génétique des générations futures d’une population en fonction d’un cadre de sélection prédéfini ». La mise en place de programmes de stérilisation contrainte là où la culture dominante le permettait. Aux États-Unis d’Amérique par exemple, le XXe siècle est marqué par des campagnes de stérilisation visant les afro-descendants, hommes et femmes. Ainsi, plus de 100.000 personnes ont été obligées de se faire stériliser le gouvernement démocratique américain. L’objectif a hérité de la colonisation faire tout ce qui est possible pour rendre la population noire marginale. De l’autre côté la France aussi sous la doctrine malthusianiste a mené une politique de dépeuplement à la Réunion dans le but d’empêcher les femmes noires réunionnaises d’engendrer. Encore aujourd’hui des programmes de stérilisation continus contre l’Afrique sous d’autres noms : le planning familial, avortement, l’homosexualité, la promotion du divorce, la promotion de la sexualité avec les préservatifs, la légalisation de la majorité sexuelle hors mariage entre autres.

   Restauration démographique de l'Afrique :

    Pour palier à ce dépeuplement menant au remplacement de la population africaine, certaines options doivent être privilégiées pour permettre à l’Afrique de retrouver son réel potentiel naturel. Ces options sont entre autres :
La majorité sexuelle nuptiale : dès qu’une personne atteint la majorité sexuelle nuptiale qui peut varier d’un pays à un autre, d’un peuple à un autre et d’une culture à une autre, doit se retrouver dans une vie conjugale familiale légale. Contrairement à ce que les blafards veulent faire croire aux Africains la négativité et la nocivité de se marier tôt tandis que chez eux le constat montre un taux record d’avortement chez les jeunes filles mineures.
La polygamie : le fait qu’un homme ait au maximum quatre femmes permet de repeupler le continent africain et de rattraper son retard démographique. Même si la polygamie reste facultative, les États doivent intégrer cette option dans leur politique sociale et familiale.
L’accès aux soins : le manque de médicaments, de médecins qualifiés, d’hôpitaux peut être un des facteurs qui entraînent une décroissance démographique de la population africaine. Une population doit se faire soigner.
Interdiction d’avortement : l’avortement est un crime et un crime doit être puni. Légaliser l’avortement, c’est acter le dépeuplement de l’Afrique. Il faut permettre aux embryons de se développer et de devenir des Africains comme les autres Africains.
Éviter les guerres : chaque année, l’Afrique perd environ 900.000 personnes par an, soit elles sont tuées, soit elles meurent de faim et de soif, soit elles meurent pour des problèmes de santé lors des conflits.

       Alors n’attendez plus pour participer à cette restauration démographique de l’Afrique !

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